Treize saisons déjà que nous accompagnons cet ensemble orchestral sans chef, initié par David Grimal et devenu aujourd’hui tout simplement indispensable !

Au tournant du XX^e siècle, la pièce de Maeterlinck captive les milieux artistiques, notamment les compositeurs. Ainsi, Schönberg, s’empare de Pelleas und Melisande en cultivant le genre du poème symphonique et en s’affranchissant complètement du texte pour faire toute la place à la musique.
C’est en 1945 que Richard Strauss compose son Concerto pour hautbois. Le compositeur y cite ses propres créations comme Till l’espiègle, Don Quichotte, Capriccio ou encore Le Chevalier à la rose, tel un condensé de toute son œuvre musicale.

Tristan und Isolde porte à incandescence l’amour, la passion enflammée, celle que les deux amoureux ne partageront vraiment qu’au-delà de leur vie, à l’image de l’amour impossible esquissé entre la poétesse Mathilde Wesendonck et Richard Wagner. Un Wagner formidablement inspiré !

Avant le concert et pendant l’entracte, profitez d'un temps de rencontre et d’échange avec Les Dissonances au Fitz 

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